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 Une mère aristocratique.

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MessageSujet: Une mère aristocratique.   Une mère aristocratique. EmptyVen 28 Nov - 0:28

Mini-fiche de présentation du PNJ


Isabella Johanna Louise Edelstein


Nature du lien familial :   Mère.
Age : 35. C’est du moins son âge officiel…et ça fait 7 ans que cela dure.
Profession : Un travail ? Peuh ! Les aristocrates vivant des héritages de leurs ancêtres n’ont pas de profession. A moins que "demi-mondaine" compte.
Domicile : Vienne, Autriche.
Langues comprises et/ou parlées : Elle parle allemand, français, et anglais (avec un accent britannique car quitte à être snob, autant aller jusqu’au bout de la chose).
Liste des liens : Quels "liens"? Isabella ne s’associe pas avec la plèbe enseignante ou la marmaille étudiante, merci bien. C'est à peine si elle se souvient de leurs noms.






Description physique :

Une mère aristocratique. Isabel11

Une mère aristocratique. Isabel12

Une mère aristocratique. Foxey10

Il y a les belles femmes, celle qui invitent à une admiration muette et niaise, de par leur aura inaccessibles. Il y a ensuite celles qui incitent à cette admiration poussée à l’extrême vers l’intimidation, puis vers un certain degré de terreur : Isabella fait partie de ce groupe privilégié d’amazones dédaigneuses. Bien qu’oscillant vers la quarantaine (un secret férocement gardé), bien que mère, Isabella ne compte pas se relâcher pour autant. Mince et élancée avec une taille de guêpe, toujours en talons suffisamment hauts et aiguisés pour poignarder quelqu'un en deux secondes, elle a le chic de se harnacher dans des robes de soirées moulantes et scintillantes ou des manteaux de vison aspergés d'eau de Cologne qui semblent appartenir à un mauvais film des années 50 plutôt qu’à une garde robe actuelle. Oh, une très belle silhouette, sans aucun doute, entretenue on ne sait par combien de sacrifices de pleine lune, et de ce fait complémenté par un visage aux traits fins et nobles, en tout point semblable à celui de son fils. Si ce n’est qu’il est, la plupart du temps, peinturluré d’un rouge à lèvres pétaradant et encadré par des broquilles scintillantes en tout genre. Ne cherchez pas plus loin : du vrai, il y en a peu chez Isabella Edelstein. Même si le vrai arrive toujours à transparaître sous le vernis glamour, sous la forme d’une expression de dégoût face à ses interactions avec des êtres gagnant moins que son revenu annuel brut, et d’une cigarette défraîchie pendouillant légèrement dans son porte-cigarette en ivoire. Oui, comme Cruella d’Enfer. On n’est pas très très loin de la réalité. Mais revenons en un moment au visage. Ses cheveux sont d’un blond glacé, retombant sur ses épaules avec un coiffé-décoiffé qui prend probablement trois heures à réaliser (au moins un autre point commun avec le fils). Un nez un peu trop long, un grain de beauté élégant sur le haut de la pommette et deux yeux violets d'une froideur implacable complètent le portrait gracieux mais grinçant. Oh ce visage pourrait être magnifique si ce n'était pour le mépris colérique et l'arrogance qui s'en dégage, de cette moue permanente ou de ce rictus de suffisance et de luxure. Et pourtant c'est quand il se change en masque parfait et sans émotion qu'il est le plus effrayant.







Caractère :
Isabelle Edelstein est une femme complexe et une mère ambigue. Tout d'abord c'est quelqu'un qui n'a manifestement jamais voulu être mère au fin fond de son âme au lieu de profiter d'une vie de débauche et d'insouciances mais qui, par convenance toute aristocratique, est devenue au fil des choses une mère dragonne obsédée par le succès de son fils. Certes, elle n'est pas vraiment intéressée par ce qu'il veut vraiment...car très manifestement, elle a toujours raison et ce garçon ne sait vraiment pas ce qui est bon pour lui, n'est-ce pas? Maladivement possessive, elle fait tout pour se mêler de quelque chose une fois qu'elle estime qu'il est de son devoir d'y mettre les pieds. Un peu comme le fils, certes. Sauf que quand Isabella s'y met, elle persiste avec une férocité glaciale. Rigide, mortellement sévère et conquérante, elle est la définition même de la main de fer dans le gant de velours (Vuitton, le gant, s'il vous plaît). Il faut dire qu'elle n'est pas habituée à ce qu'on ne lui donne pas ce qu'elle veut. Aristocrate de naissance, épouse d'aristocrate et bien évidemment déterminée en ce qui concerne produire le parfait petit héritier, elle a tout autour d'elle et ne manque jamais de rien, ni de personne, ni d'ordres à donner. Fière, hautaine, incapable de descendre du piédestal qu'elle s'est érigée, ce n'est pas qu'elle est trop peu intelligente ou naïve pour comprendre les problèmes triviaux de la plèbe. C'est simplement qu'elle s'en fiche éperdument. Tant que cela ne dessert pas ses intérêts à quoi bon? Au moins elle est honnête à ce sujet. Détachée des autres et de leurs problèmes,elle a paradoxalement besoin des autres pour justifier sa réputation et son existence, d'où son désir affolé de courir les bals et soirées mondaines à tout moment pour s'afficher, vivant de commérages et de scandales, ne pas se faire oublier. Bruyante, dramatique et fière, sa présence n'est pas remarquée dans une pièce: elle est imposée, avec panache. Si tout le monde n'a pas les yeux rivés sur elle...elle se fâche.
Autrement en ce qui concerne l'honnêteté toute pure de ses sentiments nobles, Isabella n'est pas un modèle d'excellence. Elle se complaît à mentir comme elle respire et manipuler comme elle veut pour arriver à ses fins. Elle peut passer d'une harpie déchaînée à une maman éplorée qui se demande pourquoi tout le monde est siii méchant avec elle en très peu de temps (ou peut-être juste le temps de faire couler son mascara). Bien entendu les premiers bénéficiaires de cette méthode sont son fils, et tous ceux qui discernent bien qu'elle agit en control-freak totalitaire avec lui et tout le monde. En parfaite actrice, Isabella peut dissimuler le pire d'elle même sous un masque mielleux et maternel. Et parfois on imaginerait même que ce côté maternel est sincère, désirant vraiment le meilleur de sa progéniture. Malheureusement ce sentiment est poussé à l'extrême, se portant au contrôle total et à l'intimidation la plus aboutie. Est-ce qu'Isabella a un bon fond, quelque part...? Est-ce qu'elle donne peut-être en secret desfonds à la société des canards boîteux?...Pas vraiment. Catholique assidue d'apparence, elle ne fait pas grand chose pour appliquer ce dévouement au monde extérieur ou à sa propre vie, et de ce fait sombre encore davantage dans l'hypocrisie.






La relation entre le personnage et le pnj
La relation de Roderich avec sa mère est on ne peut plus ambivalente. D'un côté il l'admire, ne lui trouve pas de défaut, veut faire tout pour lui plaire et gagner son approbation....et de l'autre il en a peur. Elle de son côté pense savoir ce qui est meilleur pour son fils mais le meilleur implique surtout ce qui est meilleur pour elle: une belle épouse avec beaucoup d'argent, un beau statut de nation avec une belle reconnaissance sociale, et peut-être aussi des talents évidents au piano pour briller en soirée et sur scène (son plan initial avant que l'Académie n'envoie sa lettre, d'ailleurs). Tout ce qu'elle fait, et de ce fait toute son attitude envers lui est la plupart de temps justifiée par le fait que c'est "pour son propre bien", mais surtout motivé par ses propres désirs. Bien trop couveuse et possessive avec lui,elle en oublie pourtant toute la chaleur et le réconfort que le côté maternel est censé apporter, le remplaçant par un sentiment de culpabilité et d'étouffement du côté de son fils. Isabella ne sait pas être une mère dans le sens 'normal' du terme. Soit elle en fait trop soit elle oublie certains éléments essentiels du boulot. Si on peut se montrer un peu sympathique face à ce manque de contact rigide et tout aristocratique, elle n'hésitera pas, elle, à se montrer impitoyable face à la moindre faiblesse de son fils. Déjà qu'elle a du mal à supporter qu'il puisse sortir avec quelqu'un de *gasp* pauvre, ne commençons même pas au sujet des garçons. Un sujet que Roderich nie avec un jeu d'acteur exceptionnel d'ailleurs.
Pendant que Roderich s'efforce de lui dissimuler tout pour garder une image parfaite à ses yeux, elle fait tout pour découvrir et détruire les moindres choses qui s'immiscent dans son plan futur. Cela vire donc rapidement à l'interrogatoire et à la surveillance où aucun débordement n'est autorisé et où les accusations fusent...même si elle est là seule à hausser le ton. Notre cher Roderich, en effet assez colérique envers certains de ses camarades, n'osera jamais hausser le ton, se rebeller ou lui désobéir...du moins pas en face à face. C'est d'ailleurs l'unique personne qui peut critiquer ce qu'il fait au piano avec autant de virulence sans se faire descendre en flammes. On comprend donc mieux comment Roderich a acquis un côté aussi coincé et frustré...qui vire carrément à l'extrême quand elle est dans les parages. De manière assez surprenante, pourtant, il ne la déteste jamais même si il connaît son tort. Relation d'amour inconditionnel pour lui comme pour elle, mais également une source immense de tensions et de pression, leurs intéractions sont surtout imprévisibles du côté de cette chère Mutti. Du côté de Rod, le mutisme intimidé et la nervosité règnent en maître alors qu'il tâche d'être plus parfait que nature.

Quelques headcanons que vous exploitez pour votre personnage à vous (l'étudiant)
- C'est Isabella qui a poussé son fils à apprendre le piano à un très jeune âge...et ce avec l'idée d'en faire un petit génie musical coûte que coûte. Le sentiment que le piano fait entièrement partie de sa vie mais que cela a seulement été possible après des heures de discipline et de solfège sous sa poigne sévère ne font qu'accentuer ses sentiments contraires envers elle. Sa mère était partie pour entamer une grande carrière en tant que violoniste mais a changé d'ambitions en rencontrant son futur mari. Il en résulte un grand amour de la musique classique mais une frustration sous-latente concernant le talent de son fils par rapport à celui qu'elle a laissé filer...malgré le fait qu'elle l'ait elle-même encouragé sur cette voie.

- Un point sur le père: il est très souvent en voyage et Roderich n'a pas vraiment eu de modèle à suivre mis à part sa mère. Ses points de référence en termes de parents plus "normaux" est assez réduit et a plutôt tourné autour de ses nourrices et domestiques variées. Il est d'ailleurs encore en contact avec la plupart d'entre elles, à l'insu de sa mère...

- Le sport préféré d'Isabella est l'équitation, lui permettant au sens propre comme au figuré de monter sur ses grands chevaux.

- Elle ne sait évidemment rien de la relation de son fils avec Gilbert (expliquant donc le fait qu'il n'ait pas encore été taillé en pièces) mais connaît bien le prénom d'Elizaveta de l'époque où Roderich était trop jeune et naïf pour se rendre compte qu'il ne fallait PAS dire tout à ce type de maman et surtout pas qu'il "aime bien" qui que ce soit...même en tant que simple amie. Depuis c'est une lutte acharnée pour elle de fouiner au sujet d'Elizaveta et une source constante d'inquiétude pour Roderich.





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